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- Chine : Un contre modèle aux US
Welcome back, chers lecteurs augmentés.
Je me suis lancé le challenge personnel de publier une vidéo par jour pendant tout le mois de septembre (sur Instagram).
Pour ce qui est de nos nouvelles cette semaine : La Chine prend une approche volontairement différente des US dans la course à l’IA et l’avenir des interfaces machines cerveau semblent avoir un avenir brillant.
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🐉 La Chine : stratégiquement différente
Pas de gaspillage — Pékin veut éviter une guerre interne du territoire des investissements dans l’IA. Le mot d’ordre : chaque région doit développer ses propres forces, plutôt que de répéter ce qui existe déjà.
Pragmatisme avant tout — Pendant que la Silicon Valley poursuit le rêve de l’AGI, la Chine mise sur des usages pratiques dès aujourd’hui : corriger des examens, prévoir la météo, gérer des usines automatisées, ou aider les agriculteurs.
S’adapter aux contraintes — Les sanctions américaines sur les puces de pointe limitent la capacité chinoise à rivaliser sur les modèles géants. Pékin préfère donc concentrer ses efforts sur l’application directe, soutenue par un fonds public de 8,4 milliards de dollars.
L’open source comme levier — Les modèles ouverts rendent l’IA chinoise plus accessible, permettant aux entreprises locales (et même étrangères) de bâtir leurs solutions plus vite et moins cher.
My take - Un contre au modèle US et un open source sous contrôle
La Chine adopte une approche différente : plutôt que de dilapider ses ressources dans une course effrénée au capitalisme, elle internalise sa création de valeur pour rester au niveau des grandes puissances mondiales. L’open source accélère la diffusion et l’évolution des modèles, mais ces derniers restent sous le contrôle d’un gouvernement qui a des intentions très claires sur la direction à donner à ce pouvoir.
🧠 Contrôler un robot par la pensée, sans chirurgie
Un bond en avant pour les interfaces cerveau-machine — Des ingénieurs de UCLA ont mis au point un dispositif portable qui permet à des personnes paralysées de contrôler un bras robotique uniquement par la pensée. Et le tout sans avoir recours à une opération invasive.
Comment ça marche ? — Le système associe un casque EEG classique à une IA qui décode les signaux cérébraux et les combine à une caméra pour comprendre l’intention du patient en temps réel. Résultat : des mouvements précis, rapides, et accessibles à n’importe quel utilisateur équipé du casque.
Source : UCLA
Des tests prometteurs — Lors d’expérimentations, quatre participants (dont une personne paralysée) ont pu déplacer des curseurs ou contrôler un bras robotique pour déplacer des blocs. Les tâches ont été réalisées près de 4 fois plus vite grâce à l’IA, avec un record de 6,5 minutes pour accomplir une série complète.
My take - L’IA comme copilote de nos intentions
Jusqu’ici, les interfaces les plus performantes reposaient sur des implants chirurgicaux risqués. Voir une alternative non invasive atteindre des résultats comparables ouvre des perspectives immenses : fauteuils roulants intelligents, outils de communication, maisons connectées… C’est un signe clair que la technologie se rapproche toujours plus d’une intégration intime et naturelle dans notre quotidien.
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