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- đź“™ Rick Rubin et le vibe coding
Welcome back, chers lecteurs augmentés.
Cette semaine, on revient sur le concept du vibe coding qui redéfinit la manière de développer. Plus que l’idée en elle-même, c’est le livre que Rick Rubin vient de publier qui attire notre attention.
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A view of the mountains from inside an apartment in KitzbĂĽhel, Austria, through a window, with soft lighting and a blurred figure sitting on a sofa. The scene is captured during the golden hour, with warm tones enhancing the ambiance. In the style of silhouette photography, the focus should be on the mountain range visible outside, with the interior of the room softly illuminated by natural light. The overall mood would convey serenity and warmth within the home.
đź“™ Le livre de Rick Rubin sur le "vibe coding"
Rick Rubin est l’un des producteurs les plus influents de l’histoire de la musique moderne. Il est en partie responsbale du succès d’artistes tels que AC/DC, Metallica, Adèle ou encore Jay-Z.
On parle de lui cette semaine car Rick vient de publier un ouvrage singulier intitulé The Way of Code, en collaboration avec l’entreprise d’IA Anthropic. Ce projet explore un concept novateur que nous avons déjà abordé ici : le vibe coding, une approche intuitive et créative du développement logiciel.
Origine et philosophie du livre
The Way of Code s’inspire directement du Tao Te Ching, texte fondateur du taoïsme, et propose 81 chapitres courts, chacun mêlant réflexion philosophique et éléments interactifs d’art généré par l’IA.
Rubin transpose sa méthode minimaliste et intuitive de la musique à la programmation, invitant chacun à coder “par le ressenti” plutôt que par la technique ou la maîtrise des langages informatiques.
Le livre ne se présente pas comme un manuel technique, mais comme un manifeste créatif et spirituel, où l’on aborde la création numérique comme un acte artistique et méditatif.
Qu’est-ce que le vibe coding selon Rick Rubin ?
Le vibe coding consiste à démarrer un projet logiciel à partir d’une intention, d’une émotion ou d’une observation personnelle, et non d’un cahier des charges ou d’une logique stricte.
Concrètement, le lecteur/utilisateur peut modifier le code ou l’apparence d’un projet en décrivant simplement ce qu’il souhaite, l’IA (Claude d’Anthropic) se chargeant de traduire cette intention en code fonctionnel.
Rubin compare ce processus à sa propre démarche de producteur : “Je suis le producteur qui ne connaît rien à la musique. L’idée qu’il puisse exister un codeur qui ne connaît rien au code, c’est ça le vibe coding.”
RĂ©ception et impact
Le livre a rapidement attiré l’attention, en partie à cause de son origine, née d’un meme internet sur Rick Rubin comme “apôtre du vibe coding”.
Il est perçu comme une tentative sérieuse de réconcilier technologie, art et spiritualité à l’ère de l’IA, tout en ouvrant la porte à une nouvelle forme de créativité numérique.
My take - Tout le monde peut construire
La barrière d’entrée pour créer des logiciels n’a jamais été aussi basse. Grâce à l’IA, une idée ou une intention peut désormais se transformer en application fonctionnelle, sans passer par une ligne de code.
C’est ce que propose Rick Rubin avec The Way of Code : une vision spirituelle et radicalement intuitive de la programmation, inspirée de sa démarche en musique.
Des projets comme CalAI, lancé par un lycéen en vibe coding, génèrent déjà plusieurs millions par an.
La question est donc de moins en moins “sais-tu coder ?” mais plus, “as-tu quelque chose à exprimer ?”
🪞 En 2026, le design sera liquide et glassifié
Dans un nouvel article sur le site de Levupp, on revient sur la vraie nouveauté de la WWDC 2025 : le Liquid Glass, une interface translucide mêlant flou, profondeur et lumière.
Ce style est sur le point d’influencer bien au-delà des OS d’Apple.
Pour les designers, fondateurs et créateurs, c’est une opportunité de repenser la hiérarchie visuelle et les effets de matière à l’écran, à condition de ne pas tomber dans l’excès.
My take - Apple mise sur le design plus que l’IA
Craig Federighi a évacué la question de l’IA en deux phrases en intro : “les vraies nouveautés arriveront plus tard cette année”. Toute la WWDC a ensuite été consacrée au design, en particulier au Liquid Glass.
Pas d’IA mais de beaux designs. Reste à voir si cela suffira pour la marque à la pomme croquée pour rester pertinente.
Et pour ce qui est du nouveau design, vous pouvez lire mon article complet juste ici.
Meta x Scale AI, une alliance qui fait fuir — Meta prend 49 % de Scale AI pour 14,3 milliards et recrute son CEO Alexandr Wang. En réponse, Google, Microsoft et OpenAI se retirent (de Scale AI). L’IA devient un jeu de trônes où chaque alliance rebat les cartes.
MIT pour l’IA qui s’auto-améliore — Le MIT crée SEAL, un système où l’IA génère son propre entraînement et améliore ses performances seule. Elle apprend mieux que GPT-4.1, sans aide humaine. Une étape de plus vers des IA autonomes.
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